Et pourtant, c'est pas chez Goldmann & Sachs que j'ai été embauché. Au passage, m'est avis qu'ils sont pas sortis de l'auberge, et que moi, j'ai plutôt été verni du point de vue timing.
La bonne étoile est toujours là.
4 ème billet du jour donc, j'ai presque bouclé ma semaine d'éditorialiste.
Celui ci parle d'une situation ma foi assez emmerdante, mais qui au final remet quelques choses en place.
Grâce à mon cerveau à trous, par ailleurs mobilisé à un niveau relativement élevé de ses capacités pour des temps parfois indéterminés tous les jours, mais aussi grâce au cloisonnement étanche entre les différentes composantes d'Electricité de France, nous sommes mon cher ami Aurélien et moi même privés de courant pour une semaine. Sweet, isn't it?
J'adore, personnement.
En meme temps, ça permet de réaliser ce dont on a vraiment besoin pour vivre. La télévision, on en a pas grand chose à foutre, une radio, c'est quand meme bien, mais de quoi se faire à bouffer, ce serait encore mieux.
Quand aux besoins de communication, informatique ou non, ben on remplit les granges avec l'électricité extérieure pour nourrie les bêtes. Pour la musique, les batteries d'ordinateur ont pas tenu bien plus d'un apéro. Voilà.
Ca va qu'il fait pas trop froid donc. Sinon on serait vraiment dans la merde.
En tous cas, ça nous permet de réaliser tout ça pour de vrai, et en espérant que ça serve de leçon.
Bon, c'en est assez.
A bientot!
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